Covid  19, quelle horreur ! ( la suite 2… )

Tel que déjà mentionné, je suis de la génération des confinés en raison de leur âge. Avec respect et reconnaissance, nos dirigeants me classent facilement dans « les aînés » ce qui m’est difficile à accepter. Sans doute vrai, mais, c’est vraiment contrariant de s’y résigner.

Enseignante au CEGEP pendant plus de trente ans, j’ai toujours aimé vivre, m’impliquer, aider, accompagner les jeunes, et, encore maintenant, ils reviennent me consulter ou m’inviter à fêter. Je me sens donc, encore, « de leur côté ». Faut dire que je n’ai jamais cessé de me renseigner, d’éviter de juger, de soigner mon allure, autrement qu’en retraitée qui peut maintenant « se laisser aller ».

J’ai toujours porté attention à me sentir élégante et à mettre en valeur mon originalité. Un peu de maquillage pour faire briller le regard, une peau soignée, en santé, par mes petits pots, rien de trop chargé. Non, je ne veux pas ressembler à une vielle qui veut jouer à la jeune déguisée! Alors, j’ai toujours eu plaisir à prendre soin de moi, évitant par choix et sans jugement les rajeunissements rigoureux, esthétiques ou médicaux.

J’ai toujours opté pour la fidélité des soins, au quotidien, au lever et au coucher. Et, depuis quelques années, les produits québécois et naturels sont mes préférés. Évitant les miroirs grossissants… au toucher, je ne crois pas que ma peau ait changé.

Et, avec le Covid 19, où en est ma peau ? Encore « dorlotée » avec mes petits pots. Parfois le maquillage se fait rare, mais jamais oublié. Mais, tout n’est pas toujours parfait, il faut planifier. Les inventaires baissent avec les achats en ligne ou encore ceux des non confinés. Si vous vous reconnaissez un peu dans mon propos, commandez vos petits pots, vous pourrez ainsi vous assurer une bonne continuité.

Dans ma réalité, il y a quand même un peu de nouveau. Jusqu’ici je partage ce qui a trait à mon visage; mais, avec le confinement, le stress qu’il engendre, mon corps est parfois touché. Rougeurs, démangeaisons désagréables, obsédantes, même si, localisées. Alors, les grands moyens : CONSULTATION MÉDICALE ou essai de produits « DERMOCOSMÉTIQUES » conseillés en pharmacie.

Et puis, si ça réussit, nous voilà soulagés et détendus, dans ce temps de pause se voulant garant de notre sécurité. Et moi, je suis encore prête à répéter : « oui, pour ma peau… mes petits pots ! »

                                      La cliente qui apprécie toujours la boutique Jourdain…